Parfois nous faisons les choses de manière automatique, presque sans nous en rendre compte ; Ai-je bien fermé la porte ? Je suis déjà arrivé ? Je viens de terminer ma journée et je n’ai pas vu le temps passer ? J’ai réalisé toutes ces tâches sans presque m’en rendre compte etc.
Comme lorsque nous nous endormons la nuit et que notre esprit conscient lâche prise, quelque chose prend le relais…Notre cher inconscient, notre ‘Automate’, comme décrit en 1686 par le philosophe Leibnitz, qui va gérer tout ce dont nous avons besoin pendant ce temps de repos, de lâcher prise. Cela voudrait-il dire que cette vaste partie de nous, qui échappe à notre perception, intervient pour nous, notamment dans des moments où notre vigilance diminue, comme lorsque nous sommes fatigués à certains moments de la journée, ces petits ‘coups de barre’? Exactement, il suit nos cycles Ultradien qui sont un prolongement de nos cycles nocturnes entre rêves et sommeil profond, toutes les 90 minutes. Ainsi toutes les heures et demie, notre attention s’échappe, nous sommes ailleurs, dans la lune, comme…dans un état de transe naturelle et quotidien sans même nous en rendre compte. C’est le principe de l’Inconscient.
Le mot transe, vient du mot Latin transire qui signifie aller au-delà, comme passer d’un port à un autre avec un moyen de transport, pour transmettre un message. Il contient donc dans sa signification une idée positive d’évolution, comme pour aller plus loin. Les premiers thérapeutes récitaient dans leurs temples Grecques leurs suggestions de guérisons sur un ton monocorde et ennuyeux ( terpnos logos ) qui faisaient basculer la personne dans un état de rêverie, juste par ennui et dont les suggestions pouvaient alors faire leur office. Milton Erickson (père de l’hypnose Ericksonienne 1901-1980) se qualifiait lui-même ‘d’ennuyeux professionnel’. Cela fait donc quelques siècles que les thérapeutes se sont aperçu que l’on pouvait se servir de son esprit pour changer sa vie.
James Braid (1795-1860), chirurgien Ecossais qui s’intéresse au magnétisme animal en 1841, crée le mot hypnose, pour désigner le mécanisme d’induction thérapeutique par fixation d’un objet brillant et où rien d’autre que la parole et les pensées ne sont à l’œuvre. Mais c’est Hyppolyte Bernheim (1840-1919), célèbre hypnothérapeute qui, en fin de compte, préfèrera le mot de ‘psychothérapie’ pour désigner le soin par la suggestion hypnotique. Depuis, le terme ‘psychothérapie’ a été repris par toutes les formes d’aides par la parole mais c’est bien l’hypnose qui est à l’origine de toutes ces pratiques.
Parfois nous faisons les choses de manière automatique, presque sans nous en rendre compte ; Ai-je bien fermé la porte ? Je suis déjà arrivé ? Je viens de terminer ma journée et je n’ai pas vu le temps passer ? J’ai réalisé toutes ces tâches sans presque m’en rendre compte etc.
Comme lorsque nous nous endormons la nuit et que notre esprit conscient lâche prise, quelque chose prend le relais…Notre cher inconscient, notre ‘Automate’, comme décrit en 1686 par le philosophe Leibnitz, qui va gérer tout ce dont nous avons besoin pendant ce temps de repos, de lâcher prise. Cela voudrait-il dire que cette vaste partie de nous, qui échappe à notre perception, intervient pour nous, notamment dans des moments où notre vigilance diminue, comme lorsque nous sommes fatigués à certains moments de la journée, ces petits ‘coups de barre’? Exactement, il suit nos cycles Ultradien qui sont un prolongement de nos cycles nocturnes entre rêves et sommeil profond, toutes les 90 minutes. Ainsi toutes les heures et demie, notre attention s’échappe, nous sommes ailleurs, dans la lune, comme…dans un état de transe naturelle et quotidien sans même nous en rendre compte. C’est le principe de l’Inconscient.
Le mot transe, vient du mot Latin transire qui signifie aller au-delà, comme passer d’un port à un autre avec un moyen de transport, pour transmettre un message. Il contient donc dans sa signification une idée positive d’évolution, comme pour aller plus loin. Les premiers thérapeutes récitaient dans leurs temples Grecques leurs suggestions de guérisons sur un ton monocorde et ennuyeux ( terpnos logos ) qui faisaient basculer la personne dans un état de rêverie, juste par ennui et dont les suggestions pouvaient alors faire leur office. Milton Erickson (père de l’hypnose Ericksonienne 1901-1980) se qualifiait lui-même ‘d’ennuyeux professionnel’. Cela fait donc quelques siècles que les thérapeutes se sont aperçu que l’on pouvait se servir de son esprit pour changer sa vie.
James Braid (1795-1860), chirurgien Ecossais qui s’intéresse au magnétisme animal en 1841, crée le mot hypnose, pour désigner le mécanisme d’induction thérapeutique par fixation d’un objet brillant et où rien d’autre que la parole et les pensées ne sont à l’œuvre. Mais c’est Hyppolyte Bernheim (1840-1919), célèbre hypnothérapeute qui, en fin de compte, préfèrera le mot de ‘psychothérapie’ pour désigner le soin par la suggestion hypnotique. Depuis, le terme ‘psychothérapie’ a été repris par toutes les formes d’aides par la parole mais c’est bien l’hypnose qui est à l’origine de toutes ces pratiques.
Parfois nous faisons les choses de manière automatique, presque sans nous en rendre compte ; Ai-je bien fermé la porte ? Je suis déjà arrivé ? Je viens de terminer ma journée et je n’ai pas vu le temps passer ? J’ai réalisé toutes ces tâches sans presque m’en rendre compte etc.
Comme lorsque nous nous endormons la nuit et que notre esprit conscient lâche prise, quelque chose prend le relais…Notre cher inconscient, notre ‘Automate’, comme décrit en 1686 par le philosophe Leibnitz, qui va gérer tout ce dont nous avons besoin pendant ce temps de repos, de lâcher prise. Cela voudrait-il dire que cette vaste partie de nous, qui échappe à notre perception, intervient pour nous, notamment dans des moments où notre vigilance diminue, comme lorsque nous sommes fatigués à certains moments de la journée, ces petits ‘coups de barre’? Exactement, il suit nos cycles Ultradien qui sont un prolongement de nos cycles nocturnes entre rêves et sommeil profond, toutes les 90 minutes. Ainsi toutes les heures et demie, notre attention s’échappe, nous sommes ailleurs, dans la lune, comme…dans un état de transe naturelle et quotidien sans même nous en rendre compte. C’est le principe de l’Inconscient.
Le mot transe, vient du mot Latin transire qui signifie aller au-delà, comme passer d’un port à un autre avec un moyen de transport, pour transmettre un message. Il contient donc dans sa signification une idée positive d’évolution, comme pour aller plus loin. Les premiers thérapeutes récitaient dans leurs temples Grecques leurs suggestions de guérisons sur un ton monocorde et ennuyeux ( terpnos logos ) qui faisaient basculer la personne dans un état de rêverie, juste par ennui et dont les suggestions pouvaient alors faire leur office. Milton Erickson (père de l’hypnose Ericksonienne 1901-1980) se qualifiait lui-même ‘d’ennuyeux professionnel’. Cela fait donc quelques siècles que les thérapeutes se sont aperçu que l’on pouvait se servir de son esprit pour changer sa vie.
James Braid (1795-1860), chirurgien Ecossais qui s’intéresse au magnétisme animal en 1841, crée le mot hypnose, pour désigner le mécanisme d’induction thérapeutique par fixation d’un objet brillant et où rien d’autre que la parole et les pensées ne sont à l’œuvre. Mais c’est Hyppolyte Bernheim (1840-1919), célèbre hypnothérapeute qui, en fin de compte, préfèrera le mot de ‘psychothérapie’ pour désigner le soin par la suggestion hypnotique. Depuis, le terme ‘psychothérapie’ a été repris par toutes les formes d’aides par la parole mais c’est bien l’hypnose qui est à l’origine de toutes ces pratiques.
L'EFT a de nombreux arguments à faire valoir en tant que thérapie brève et découle de nombreuses avancées pratiquées dans le champs corporel et psychique. Joseph Volpi, pionnier de la psychiatrie testa différentes formes de stimulations physiques et découvrit que conjuguer une respiration diaphragmatique tout en se remémorant un souvenir traumatique, pouvait éliminer le contenu émotionnel de ce souvenir. Un peu plus tard, Georges Woodart un chiropracteur Américain, s'initie à l'acupuncture et découvre qu'il peut traiter des affections physiques en stimulant des points d'acupuncture avec les mains sans utiliser d'aiguilles. Mais c'est le psychologue Roger Callahan qui combina la stimulation des points d'acupuncture avec la thérapie d'exposition. Il découvrit qu'il pouvait appliquer des stimulations manuelles sur des problèmes d'ordre psychologique, comme les phobies par exemple, pour en ôter les souvenirs douloureux. Il appela sa méthode TFT (Thérapie du champs mental). Des psychologues cliniciens comme Fred Gallo ont ensuite intégré la TFT dans leur pratique. C'est Fred Gallo qui inventa le terme de psychologie énergétique. Plus tard, Gary Craig (élève de Callahan) simplifia sa méthode et l'appela EFT (technique de libération émotionnelle). l'EFT a apporté une seule méthode pour tous les symptômes. Aujourd'hui, l'EFT est reconnue par la communauté scientifique pour gérer les débordements émotionnels, gérer les troubles du comportement, traiter les traumatismes profonds, traiter les souvenirs douloureux non résolus, traiter les polytraumatismes et les états dissociatifs. Les outils de l'EFT peuvent être utilisés également de manière autonome.
le coaching comme une alliance entre le coach et ses clients dans un processus qui suscite chez eux réflexion et créativité afin de maximiser leur potentiel personnel et professionnel.
Pour accompagner l’évolution d’une personne, d’une équipe ou d’une organisation, le coach s’appuie sur l’art de la relation qui permet d’entrer en interaction avec quelqu’un d’une façon telle qu’il réalise les projets qu’il choisit de mettre en œuvre en transformant, si c’est pertinent, ses attitudes et ses compétences.
Il s'agit d'une relation de parité fondée sur une complémentarité de maîtrise entre le coach et ceux qu’il accompagne. En effet, pour accompagner ses clients, le coach installe une qualité de relation qui est au cœur de la réussite du coaching.
D’un côté, le client est «maître» du fond, c’est à dire de ses objectifs, de son projet, des sujets qu’ils souhaitent traiter, des choix et les décisions qu’il posera.
De l’autre, le coach est «maître» du processus, c’est-à-dire de la structure et des moyens à mettre en place pour explorer ensemble les enjeux du coaching dans l’inconnu et le complexe. Cette complémentarité de maîtrise permet d’accompagner l’ensemble des demandes de nos clients. Non seulement les demandes simples de développement de compétences et d’amélioration d’efficacité mais surtout celles plus complexes à forts enjeux économiques et éthiques.
La PNL (Programmation Neuro Linguistique) est un outil de développement personnel et d'accompagnement au changement. "C'est une approche de la communication et du changement, un ensemble de techniques de transformation de soi qui s'intéresse à nos réactions plutôt qu'aux origines de nos comportements. Elle privilégie le comment au pourquoi et propose une grille d'observation pour améliorer la perception que nous avons de nous-même et des autres.
La PNL a été mise au point en 1972 par John Grinder, professeur de linguistique, et Richard Bandler, mathématicien et psychothérapeute aux Etats Unis en Californie. Elle exploite le système nerveux, et le langage ("linguistique") parce que nous apprenons grâce au langage et en acquérant les moyens de communiquer".
Les objectifs de la PNL : Il y en a plusieurs. Tout d'abord des objectifs très concrets : apprendre aux participants à communiquer de façon claire, efficace et satisfaisante en respectant "le modèle du monde" de leur interlocuteur (sa façon de voir les choses, ses croyances). La PNL nous aide à trouver ce qui fait que nous sommes motivés, ce que nous désirons et si nous vivons en accord avec ce que nous désirons. Savoir se fixer des objectifs précis, formulés de façon telle que les personnes puissent les atteindre dans les meilleures conditions en partant de leur EP (état présent), pour atteindre leur ED (leur état désiré, leur objectif). Le but plus large est de leur permettre de se réaliser dans leur vie personnelle et professionnelle et de vivre une vie épanouissante selon leurs propres critères.
Tous droits réservés | SCMD Christophe Ameline